LA PROCREATION MEDICALEMENT ASSISTEE

C’est en 1983 que pour la première fois, un enfant est né, fruit de la procréation médicalement assistée (PMA). C’est par milliers que des femmes se tournent vers ces techniques pour avoir un enfant, un enfant à tout prix. Nous ne nous posons ici ni en juge, ni bourreaux, mais nous nous devons d’exposer les faits et les horreurs de cette « grande avancée » de la technologie biomédicale, faiseuse d’enfants. Nous introduisons en soulignant que le taux de réussite de ces techniques est de 15% environ. Nous verrons premièrement les différentes méthodes que ces « grands magiciens » utilisent et nous répondrons ensuite à certaines questions.

A- TECHNIQUE DE PROCREATION ASSISTEE

Quand un couple ou même une femme seule (c’est le monde) se présente dans un service de traitement de l’infertilité, ils sont accueillis et sont bombardés de nombreuses questions sur leur intimité et sur leurs familles, puis s’ensuivent de nombreux autres rendez-vous. Toutes les méthodes d’intervention commencent par ce qu’on appelle STIMULATION OVARIENNE qui consiste à faire prendre à la femme des hormones qui agissent sur l’ovaire en lui faisant produire plusieurs ovules à la fois( normalement, chaque mois, chaque femme menstruée produit un seul ovule ), multipliant les possibilités de fécondation et donc d’enfant. Seulement, tout ceci n’est pas sans risque pour la femme qui se soumet à ces traitements. Les complications pour sa santé peuvent arriver jusqu’au décès. Ces complications sont réunies sous le nom de Syndrome d’Hyperstimulation ovarienne et peuvent se présenter jusque dans 50% des cas. Ils sont les suivants : Au niveau local c.-à-d. de l’ovaire, on peut assister à . La torsion de l’ovaire pouvant entrainer sa nécrose c.-à-d. la mort cellulaire . Une forte augmentation du volume ovarien portant à une rupture de l’ovaire pouvant être cause d’épanchement de sang dans le péritoine (feuillet interne abdominal)

Au niveau général, les accidents sont classés en 5 stades par GOLAN 1 : distension abdominale et inconfort, du fait du taux abnorme des hormones en circulation, ceux-ci ont des effets sur l’intestin. 2 : Nausées, vomissements et/ou diarrhée 3 : Ascite (Rétention importante de liquide qui doit normalement être éliminés) à l'échographie, la femme se présente avec un abdomen gonflé et résistant à la pression du doigt, causant un sérieux inconfort. 4 : Ascite et/ou hydrothorax évidents cliniquement (difficultés respiratoires du à l’accumulation de liquide dans les plèvres qui sont les enveloppes pulmonaires, pouvant causer un collapsus pulmonaire voire le décès) 5 : anomalies de la coagulation avec la formation de petits Caillaux sur la paroi des artères ou des veines ; quand ils se détachent du vaisseau sanguin, rentrent dans la circulation sanguine et va finir dans la microcirculation pulmonaire pouvant causer une embolie pulmonaire et même la mort.) et/ou de la fonction rénale du soit à une diminution du volume de sang, soit à une rétention des électrolytes dans le liquide ascitique.

On peut donc avoir des cadres cliniques suivantes du aux complications sévères d’hyperstimulation ovarienne •choc hypovolémique, insuffisance rénale aiguë •détresse respiratoire, •perturbations des fonctions hépatiques, •accidents thromboemboliques veineux ou artériels •et même décès Et comme séquelles la femme peut souffrir d’hémiplégie ou même l’amputation de membre inferieur, elle pourrait se voir contrainte de se soumettre à une intervention chirurgicale d’ovariectomie uni ou bilatérale, c.-à-d. l’ablation des ovaires, en cas de torsion avec nécrose comme dit plus haut. Le risque de cancer a été évoqué et certaines études ont bien démontré que ce risque était augmenté à cause de la stimulation ovarienne, mais d’autres études ont eu des résultats contraires. Tout ceci vous semble de la science-fiction ?pure invention ?c’est tout simplement parce que personne n’en parle mais vous pouvez vérifier toutes ces informations en prenant n’importe quel livre d’anatomie et de pathologie sérieux, qui traite de ces arguments. Pouvez vous me dire ce qu’à YAHWE, le Dieu Créateur à voir dans tout ceci ?

Après la stimulation ovarienne, quand « tout va bien », les méthodes sont les suivantes :

- L’insémination artificielle Elle consiste à déposer un peu de sperme dans le vagin ou dans la cavité utérine. Ce sperme qui est généralement obtenu après masturbation dans une des pièces du laboratoire, peut provenir du conjoint ou d’un donneur anonyme. Il peut donc être frais, préparé au laboratoire ou congelé. Le problème c’est qu’après la stimulation ovarienne on peut être en présence de plus de 3 ovules et s’ils sont tous fécondés, on a une grossesse multiple de 4,5 ou même 6 embryons, et le couple est donc confronté au problème de devoir réduire le nombre d’embryons à 1 ou 2 ( ceci est le cas de figure général), et ces embryons en trop sont donc tués, les docteurs diront « détruits », mais pour l’Eternel, ce n’est rien de moins qu’un meurtre. Si les futurs parents manifestent le désir de garder les 5 ou 6 embryons, ils seront confrontés à la naissance de 5-6 enfants prématurés avec des déficits parfois très graves et irréversibles, avec peu de probabilité de survie. Et la question que l’on pose à ces personnes désireuses d’être parents est celle-ci : à quel prix êtes-vous prêts à avoir un enfant ? En en tuant combien d’autres ? Et en mettant également en péril votre vie ? N’oubliez pas l’hyperstimulation dont on a parlé plus haut. La vie ne vous appartient pas, ni la votre, ni celle des embryons qui se forment, la vie appartient à Celui qui donne le souffle de vie, vous ne savez même pas quel en est le moteur, qu’est ce la déclenche. Les scientifiques peuvent vous expliquer le « comment », mais ils ne vous diront jamais le « pourquoi ».

- La fécondation in vitro et transfert d'embryons (FIVETE)

Elle consiste à réaliser la fusion entre l’ovule et le spermatozoïde au laboratoire plutôt que dans le corps de la femme. Le sperme utilisé provient de la masturbation ou dans les cas graves de prélèvement de spermatozoïdes dans les testicules. Les ovules sont obtenus après la stimulation ovarienne et déclenchement de l’ovulation, puis ils sont recueillis hors du corps et mis en présence de spermatozoïdes préalablement sélectionnés et capacités. Les ovules fécondés sont cultivés pendant 2 jours ou plus et les meilleurs d’entre eux sont implantés dans l’utérus. Les autres seront encore cultivés quelques jours en plus avant d’être congelés, s’ils sont « viables ». On parle ici de « cultiver », « implanter », de « congeler », mais s’agit-il de verdures ou d’être humains ? Depuis quand congèle-t-on un être humain ? Est-ce un morceau de beefsteak ? Si le nombre d’embryons viables parmi ceux qui ont été transplanté dans l’utérus devient important, on propose aux futurs « parents » une réduction embryonnaire qui consiste à supprimer, donc tuer les plus proches et d’en laisser un nombre « raisonnable » de foetus, selon le désir du couple ou de la femme. Aujourd’hui le nombre d’embryons implantés ne dépasse pas généralement 3, les autres sont simplement congelés, comme des crevettes, ils sont appelés embryons surnuméraires. Des congélateurs de nombreux laboratoires, éparpillés aux 4 coins du globe, regorgent ainsi de milliers et milliers d’embryons bien congelés, de vies humaines bien gelées, qui attendent leur sort.

- La micro-injection intracytoplasmique de spermatozoïde: (ICSI) Intra Cytoplasmic Sperm Injection

Elle est semblable à la FIVETE décrite ci-haut, sauf que la mise en présence des ovules et des spermatozoïdes est remplacée par l’injection d’un spermatozoïde sélectionné directement à l’intérieur de chaque ovule. Cette méthode a été « améliorée », avec la capacité de pouvoir injecter des spermatozoides sélectionné à fort grossissement. Et s’appelle Intra Cytoplasmic Morphologically Selected Sperm Injection (IMSI). Et le reste suit comme pour la classique FIVETE, avec tous ses aléas et horreurs.

B- LE SORT DES EMBRYONS SURNUMERAIRES

Comme nous l’avons précédemment expliqué, un embryon surnuméraire est un embryon issu de la fécondation in vitro et qui n’est implanté dans l’utérus de la femme désireuse d’enfant. Les motifs peuvent être divers parmi lesquels nous pouvons citer : - Un grand nombre d’ovocytes fécondés lors de la FIVETE et ne pouvant pas tous être implantés - La femme pour des raisons personnelles ne désire plus que l’embryon soit transplanté - Pour cause d’un accident ou d’une maladie qui lui empêche de se soumettre à la FIVETE. - La femme décède. Les embryons surnuméraires sont premièrement congelés, puis les parents des ces embryons ont 5ans pour decider de leur sort.,ceux-ci n'ont pas mille alternatives; les hypothèses se résument

en ceci :

. Quand les parents ont obtenu leur satisfaction d’avoir un enfant ou même plusieurs par ces méthodes, ils peuvent les « offrir » comme don pour d’autres couples souffrant d’infertilité qui se soumettront comme eux à la fécondation in vitro .ou bien ils décideront de leur « destruction » c.-à-d. de leur assassinat ou bien ils les « offriront » à l’expérimentation ce qui signifient que ces embryons seront disséqués, manipulés et utilisés pour la « recherche scientifique », ce qui pour ces embryons sans voix est leur arrêt de mort.

La Bible dit : « Le méchant dit avec arrogance: Il ne punit pas! Il n'y a point de Dieu! -Voilà toutes ses pensées….Il assassine l'innocent dans des lieux écartés; Ses yeux épient le malheureux. Il est aux aguets pour surprendre le malheureux; Il le surprend et l'attire dans son filet. Il se courbe, il se baisse, Et les misérables tombent dans ses griffes. Il dit en son coeur: Dieu oublie! Il cache sa face, il ne regarde jamais! Lève-toi, Éternel! Ô Dieu, lève ta main! N'oublie pas les malheureux! Pourquoi le méchant méprise-t-il Dieu? Pourquoi dit-il en son coeur: Tu ne punis pas? Tu regardes cependant, car tu vois la peine et la souffrance, Pour prendre en main leur cause; C'est à toi que s'abandonne le malheureux » Psaume 10 :4-10. Sont stockés, seulement dans des congélateurs européens , des milliers d’ovules et des milliards de spermatozoides pour le « traitement » de l’infertilité. Il suffirait donc simplement de féconder tous ces ovules avec ces spermatozoides pour obtenir des embryons que ces scientifiques pourront utiliser pour fournir des cellules souches sensés pouvoir guérir certaines maladies incurables. Des vies humaines, manipulées, et puis détruites, tout simplement perce qu’elles n’ont pas de voix pour crier, ne pouvant rien pour se défendre, comme des brebis qu’on mène à la boucherie. . Certaines personnes estiment qu’elles ont le droit de faire ce que bon leur semble avec leur ADN ou leur vie, même le clonage c.-à-d. faire produire un embryon à partir de la l’introduction de leur ADN dans un ovule ; afin de pouvoir en tirer des cellules souches pour tenter le traitement d’une maladie dont ils souffriraient. Les embryons seraient massacrés, mais ce qui importe c’est de tenter un « traitement ». Sachez que Dieu a crée les premiers humains avec de la poussière mais ensuite il a instauré des lois comme pour tout le reste de la création, des lois immuables, et celle qui concerne l’humanité est une de celles-ci, une fois qu’il ya fécondation commence la vie d’un être humain indépendamment du cours de la grossesse, et ces lois ne changeront pas et dureront tant que durera la terre et ces cieux d’aujourd’hui. Il a été ensuite démontré que les enfants né après la procréation assistée présentait un pourcentage beaucoup plus élevé de maladies congénitales, Au milieu des années quatrevingts dix, on a découvert que le syndrome d’Angelman était dû à une empreinte défectueuse sur une partie du chromosome 15. L’enfant se présente avec un retard mental, des mouvements incontrôlés, parlant à peine et surtout souriant tout le temps. Le Syndrome de Angelman est une maladie congénitale qui affecte un enfant sur 15 000 dans la population générale, il ya quelques années, une étude danoise a démontré que le risque d’être atteint par cette maladie était trois à dix fois plus élevé chez les enfants nés grâce aux techniques de la procréation médicalement assistée, suite à des traitements hormonaux ainsi qu’à d’autres interventions comme la fécondation in vitro ou l’injection de sperme.